18.01.2022
3 questions: Dr. Saager
Aujourd’hui, entretien avec le Dr med. Christoph Saager, FMH chirurgie orthopédique et traumatologie de l’appareil locomoteur.
Parcours professionnel
- Depuis 1998, activité en cabinet indépendant à Bienne et Aarberg
- 1995 - 1997 Clinique orthopédique, Hôpital cantonal de Fribourg (Prof. R.P. Jakob)
- 1992 - 1995 Clinique universitaire d’orthopédie, Hôpital de l’Île, Berne (prof. R. Ganz) et activité scientifique à l’Institut M.E. Müller de biomécanique, Berne (prof. Hunziker)
- 1990 - 1991 Chirurgie / Traumatologie, Hôpital d’Aarberg (Dr. Ch. Klaiber)
Entretien
Selon vous, comment le système Mathys «bonepreservation» a-t-il fait ses preuves?
Il y a dix ans, je suis passé au système bonepreservation de la société Mathys. Dès 2004, j’ai commencé à implanter les prothèses de la hanche par voie d’abord mini-invasive. Avec la tige optimys l’intervention est devenue beaucoup plus simple et plus sûre grâce à l’abord en douceur qu’elle permet. Mes contrôles d’évolution montrent un beau remodelage autour de la cupule RM, aucun stress shielding autour des implants et dans l’évolution clinique également, les douleurs postopératoires dans la région de la cuisse, par exemple, sont très rares. Les résultats très encourageants que l’on a obtenus prouvent que le choix de ces implants a fait ses preuves.
Comment décririez-vous la collaboration avec Mathys?
J’apprécie énormément la collaboration avec la société Mathys. Je peux constater une énorme fiabilité dans tous les domaines. L’expérience approfondie des collaborateurs du service extérieur est très précieuse. Ils suivent beaucoup d’interventions chez d’autres collègues, beaucoup de cas compliqués et ont donc souvent des idées et des conseils utiles sur la manière d’aborder les cas complexes.
Concernant les tendances et les avancées dans le domaine des endoprothèses, quels sont selon vous les prochains développements importants à venir?
Je pense que, dans le domaine de la hanche, un grand progrès a déjà été réalisé avec les implants actuels et que l’on pourrait maintenant viser des progrès dans le domaine des prothèses de genou.
Merci beaucoup pour cet entretien, Dr Saager.